Section complétée. Merci de poursuivre avec la section F.
36. J’oubliais. Autre oiseau envolé au paradis des volatiles aujourd’hui. Pas eu le temps de voir ce que c’était. Il passait par là. Paf ! Dans le pare-brise. Mauvais karma.
35. Plus que 170 km avant Yellowknife. Ça me fera 11 heures de route aujourd’hui (brillant 🥴). Probablement une centaine de bisons vus aujourd’hui. Répartis en sept ou huit hardes de un (?!?) à quarante têtes par harde. J’ai aussi vu un couple de quelque chose qui ressemble à une aigrette. Mais elles étaient brunes pâles (grues du Canada ?; photo d’internet).

34. Bon. Après les chevreuils et les dinosaures, ce sont les bisons qui deviennent lancinants. Même que eux c’est pire; faut parfois slalomer entre les bouses qui parsèment la route.
Par ailleurs, ne manquez pas mon prochain film « Buffalo Bill contre Zombison, le bison zombie » (scusez la). Et ses suites « Zombisoune – La reine transgenre de la harde » et « Le retour de Bisonbi, le LBGTQ+ ». Mais surtout : « Bizou – The buffalo vamp » (re-scusez; trop de café 🥸).


33. C’est reparti. Direction Yellowknife. Mais peut-être en deux jours.

32. Je vous mets les sons avec l’image. Des rafales de vent. Un arbre qui craque. Quelques mouches qui virevoltent. Un bébé qui rit. Un pic-bois. Cé tout. Signé : Bof … qui médite un peu finalement.

31. 😢😩😢 Le magasin d’alcool est fermé le dimanche 😢😩😢. Signé : Bof qui mange ses chips avec de l’eau (ou Comment faire pitié ? 😉).

30. Au musée de Fort Smith (fermé en ce dimanche). Je ne sais pas quel était son rôle mais il semble avoir beaucoup donné.

28. La résidence de l’évêque de Fort Smith de 1922 à 1986. Petit a : Hein ! Il y avait un évêque dans ce minuscule hameau ? Petit b : Il s’emmerdait pas avec la modestie l’évêque !
Bon bon ! Je suis de mauvaise foi. Petit a : C’était l’évêque de tout le diocèse de Mackenzie; que je présume immense. Petit b : La résidence accueillait aussi les oblats et les prêtres de la mission.

27. « Compris là ? C’est fini les slush à la moutarde pi les pogos aux raisins ! … heu … en tout cas ! ».

26. Au Parc National Wood Buffalo, on trouve des reliefs karstiques. Il faut avant tout savoir que « Le karst est une structure géomorphologique résultant de l’érosion hydrochimique et hydraulique de toutes roches solubles, principalement de roches carbonatées dont essentiellement des calcaires. Des structures karstiques se rencontrent en outre dans des chlorures évaporitiques ». Bon. Toute personne y ayant compris quelque chose, gagne un toutou. En attendant, je ne les ai pas trouvé; donc pas de photo 🥸.
25. Parc Canada recommande de marcher pieds nus sur les plaines salées du parc Wood Buffalo. Sauf qu’il a tellement plu hier que c’est de la bouette. De la bouette de sel peut-être … mais de la bouette quand même.

24. Un autre lagopède. Je ne sais pas quelle sorte … mais au moins je ne l’ai pas tué celui-là 🥴.

23. Je suis sidéré ! Des pélicans ! Il y a des pélicans sur les îles des rapides de la Slave River à Fort Smith ! Dans les TNO ! Au 60e parallèle ! Je croyais que les pélicans vivaient à Fort-Lauderdale. En Floride. Dans des condos. Bin, pas l’été. Une gang d’entre eux migrent du sud pour venir passer quelques mois ici. Et faire des bébés (des pélicaneaux ?). C’est la seule colonie connue de pélicans qui niche dans des rapides (toutes les autres espèces le font en eaux calmes). … Estomaqué le Bof !

22. Fort Fitzgerald ?

21. Bon. Virée à Fort Fitzgerald. A 25 km de Fort Smith. Panneau sur le bord de la route : Fort Fitzgerald tout droit. Puis autre panneau genre : Fort Fitzgerald par là. Et encore un panneau : Welcome to Fort Fitzgerald. La route se termine à la rivière Slave. Bin la ! J’ai manqué une courbe ou quoi ? Aucune idée où est le village.

20. Fort Smith. Je me pointe au Tim Horton/dépanneur cinq minutes avant l’ouverture. Il y a déjà huit pickups. A 7h30 pile, les huit vieux monsieur sortent de leurs pickups et entre dans le Tim Horton/dépanneur. « Hi John ! » « Hi Bill ! » « Good morning Bob ! » « How zy gowing Jim ! », etc. Je les suis. Sont déjà tous assis avec des cafés. La section Tim Horton n’est pas encore ouverte. Je semble désemparé. Un gars me pointe une carafe à café. « There ». Et moi : « And donuts ? ». « Eventually. Who knows ? ».
19. Fort Smith. Bon, faut que je breake en quelle langue moi là ? Alons-y en Cri avec Naki (par ce que l’autre, vraiment, j’ai pas le clavier pour l’écrire 🤪).

18. Un cratère de météorite ? Non. C’est une doline (sinkhole). C’est-à-dire une caverne dont le toit s’est effondré.

17. Parc National Wood Buffalo. Ça sonne comme « Y’a du bison icitte ! ». Et bien c’est exact. Ils sont 5 000 dans le parc. Des bisons des bois. Anecdote : Il s’agit du plus grand Parc National du Canada. Autre anecdote : Il est situé en grande partie en Alberta (le coin nord-est) mais n’est accessible, l’été, que par les Territoires du Nord-Ouest (l’hiver, une route de glace permet l’accès par Fort McMurray en Alberta; mais, par Zeus !, qui va là l’hiver ?).

16. Oh merde ! J’ai tué un lagopède à queue blanche (un genre de perdrix). Il était sur le bord de la route. A mon approche, plutôt que de s’envoler vers le bois, le con a décollé vers la route. Bang ! Il a frappé le devant de la voiture puis le pare-brise devant moi. S’cuse vieux.
15. Fisherman’s Wharf Market. Le marché aux poissons de Hay River. Tous les samedis d’été. Comme son nom le dit (hum !), on y vend surtout de l’artisanat et des gâteaux. Ceci dit, la ville est située sur la rive sud de l’immense Grand Lac des Esclaves et la pêche est une industrie importante ici. On trouve notamment de la truite grise, du grand corégone, du brochet et du thymallus arcticus (ou ombre arctique, que l’on trouve dans l’estuaire de la rivière Hay). Attention : Ne pas confondre OmbRe et OmbLe. Tous deux sont des salmonidés mais le premier vit dans les rivières, et le second dans les lacs.

14. Le Kakisa. Il pousse des barges tout le long du fleuve Mackenzie (1 740 km), jusqu’à Tuktoyaktuk, pour approvisionner les communautés qui longent le cours d’eau.

13. Allô toi ! (Soeur me dit que c’est un magpie. Mais surnommons-le Roger; mettons). Oh boy ! Pas content le/la Roger. Il/elle attaque mon auto bazwell ! T’as gagné. Je m’en vais.


12. Hay River au petit matin. God ! La dame ci-dessous a vidé le cendrier public au sol et a récupéré les mégots encore potables. On a pas tous la même bonne étoile dans la vie 🙁. Déchirant.

11. Retour sur le C-46 Curtiss Commando. Buffalo Air Express possède deux des trois encore en service dans le monde ! (Insérez de la bave ici 🤪). Le troisième est au Japon. Sur les 3 181 fabriqués entre 1941 et 1945, il subsiste ces trois là en activité et quelques dizaines dans des musées. Photo (pas de moi) : Le C-FAVO en vol. Remarquez les fenêtres aux pieds des pilotes. C’est qu’à l’origine, le C-46 Commando était un avion conçu pour les forces armées (2ième Guerre mondiale).

10. Démographie. Les TNO (ou ᓄᓇᑦᓯᐊᖅ en inuktitut) c’est 41 000 habitants dont la moitié sont autochtones. Il y a onze langues officielles ! : L’anglais, le français et neuf langues locales. Les francophones sont 1 000 et ont même un hebdomadaire : L’Aquilon (qui signifie « Vent du Nord, froid et violent »).

9. Dans un café de Hay River. N’importe quoi ! 😉

8. Wow ! La flotte de Buffalo Air Express est constituée de vieux avions cargos à hélices. Suis tout énervé 😀. Voici l’un de leurs deux C-46 Curtiss Commando. Le C-FAVO construit en 1945. Il a 78 ans ! Ils ont aussi des DC-3 et des Lockheed L-188 Electra. Et on peut visiter leurs installations à Yellowknife ! Il y a un peu de bave aux coins de mes lèvres 🤭. À suivre.

7. Ça y est. J’ai réussi ma vie 😁.

6. Une lampe frontale ? À 3h30 du matin ? Pfff ! Pourquoi faire ?

5. J’ai mesuré une frappe-à-bord. Deux centimètres bazwell ! Des mouches de deux centimètres de long qui tournent autour de toi par dizaines ! Au moins elle ne piquent ni ne mordent. Mais mettons que tu ne t’assieds pas dehors pour lire ou méditer (Je dis ça comme s’il m’arrivait de méditer 🧐)
4. Zut de fudge ! Demain je comptais me rendre dormir au Parc National Wood Buffalo mais les feux de forêts pensent autrement. Une bonne partie du parc est fermée; dont le camping. Ça c’est vers l’est. Vers l’ouest, le chemin pour Whitehorse (la 77-Liard Highway puis la 97-Alaska Highway) est fermé lui aussi. Toujours dû aux feux de forêts.
Me reste : soit à aller dès demain à Yellowknife (le nord); soit de rebrousser chemin (le sud); soit d’attendre quelques jours en espérant que les feux se calment (le rien). On vote pour cette dernière option ? (C’est-à-dire voter pour rien 😉) Tout le monde a levé la main ? Excellent ! Adoptée à l’unanimité ! Merci de votre appui.

3. Chutes Louise du Parc Territorial des chutes Twin.

2. Me suis arrêté pour une pause pipi sur le bord de la route. Mais impossible de sortir de la voiture. Suis cerné par des frappe-à-bord gros de même. Durs à photographier. Vont trop vite. Il y en a trois sur la photo ci-dessous (à droite).

1. Le passage du 60ième parallèle marque la frontière sud des Territoires du Nord-Ouest. Ici, en cette mi-juin, à quelques jours du solstice d’été, le Soleil brille plus de 19 heures par jour (à Montréal ce n’est qu’un minuscule (!) 15h30 par jour). Dans quelques semaines ce sera le passage du Cercle Polaire Arctique (66 degrés nord) avec la présence du Soleil 24 heures sur 24.
