Section complétée. Merci de poursuivre avec la section C.
18. Bucolique. Non ?

17. Voici l’Alberta Highway 514. Bazwell ! On se demande de quoi on l’air leurs rangs de campagne ?

16. Paraîtrait que le bétail se couche lorsque la pluie s’annonce ou tombe ? Mythe ? A vous de juger. Sur cette photo, il mouille averse et pourtant il y a des meuh-meuh debout.

15. Villages fantômes. Il y en aurait des dizaines en Alberta. Principalement délaissés lorsque l’industrie primaire du village a cessé « d’industrier ». Surtout des mines qui ont fermées. Voici un restant du patelin d’Orion.

14. Le Viaduc de Lethbridge a été inauguré en 1909. Il y a donc 114 ans qu’y circulent les trains du Canadien Pacifique. Son 1,6 kilomètre lui permet de franchir la vallée de la rivière Oldman et fait de lui le plus long (de même que le plus haut (100 mètres) ) pont ferroviaire en métal au monde. Il est partie intégrante de la Crowsnest Pass Route qui relie Medecine Hat à Hope en banlieue de Vancouver. Depuis belle lurette n’y passe que des trains de marchandises (la route ayant, sur ce corridor, prit le pas sur le transport de passagers). J’ai fais plus de cinq heures de voiture uniquement pour voir ce viaduc. Aucun regret. Il est tout bonnement magnifique. Ne manquait qu’une loco à vapeur et des cowboys.

13. Un film de Disney : simultanément, deux chevreuils et une famille d’oies traversent la rue devant moi. C’est bien juste si y m’ont pas jasé. So champêtre. Note : Bambi et son chum ont refusé de poser pour la photo.

12. Petit arrêt au Cafe 12-34. Je fouille les quelques lectures à la disposition des clients. Sur le dessus de la pile : The children’s Bible. J’hésite entre surpris, déçu ou les deux ?

11. 1,35.9 $ le litre ! Merci sables bitumineux ! 🤔

10. Petite virée à Medecine Hat. Pour un achat. Par ce que pour-le-tourisme, on a vu mieux. Selon le guide Le Petit Futé, il y a deux choses à voir dans cette ville : Le Centre d’interprétation de la poterie, et … le Best Western Inn (what the !?!). Mais pour une vraie belle journée, j’ajouterais un pogo au Wendy’s et l’achat d’un « ratchet trois quart » chez Canadian Tire.

9. Bon. 7h20. Suis lavé et peigné (!), j’ai déjeuné, fais mes mots-croisés, pris une marche; dans la brume (il y a une couple d’oies qui ont été surprises de me voir retontir. Ça criaille, ça criaille). Bonne nouvelle, Météo Média a changé d’idée. Il ne pleuvra pas aujourd’hui.

8. Quoi d’autres de futile et barbant ? Il est à peine passé midi et l’orage gronde. Faisait 28 à cette heure-ci hier; fait 14 en ce moment. Me semble qu’un (ou quatre) biscuits Oreo ça me réchaufferait ? C’est tu végan des Oreo ? Lecture des ingrédients. Je vois rien de naturel là dedans. Donc ça doit être végan.
⁃ Bof ? – Oui ? – T’es végan ? – Heu … non ? – Bin, à cause tu poses la question baptême ? – Je … je ne … je … bin, par ce que mon blogue est informationnel ? Je réponds aux questions de base sur la vie. Je … je … je vais me taire.
7. Autre futilité barbante : Mes commentaires sur ma lecture du moment : « Ils ont marché sur la Lune », essai de Philippe Henarejos. Ça raconte en détails les séjours des douze astronautes du programme Apollo qui ont posé les pieds sur la Lune. Du célébrissime Neil Armstrong, au fort moins connu Harrison Schmitt (le douzième et dernier). Pour chacune des six missions (Apollo 11 à 17; excluant l’échec d’Apollo 13), y sont décrits les états d’âmes (surtout émerveillés; mais parfois désespérément neutres) de chacun de ces hommes (pas de femmes), les gestes qu’ils ont effectués (installations d’instruments scientifiques, cueillettes d’échantillons, expériences, facéties (bondir, jouer au golf) ), les sites qu’ils ont explorés, les paroles qu’ils ont prononcées.
Pour moi qui ai vécu cette époque (j’ai eu neuf ans trois jours avant le pied d’Armstrong), c’est fascinant. – Non. Le pied d’Armstrong n’a pas eu neuf ans. C’est pas de même qu’il faut lire la phrase. Bazwell ! Faut vraiment tout vous expliquer !
Reprenons. Donc fascinant, … sauf qu’après Apollo 11, 12, 14 et 15, j’en suis rendu à Apollo 16 et à une millième description d’une roche qu’un astronaute collecte. Un moment donné sont toutes pareilles cibol ! Bref, pour passionné(e) seulement.

6. Seconde futilité barbante : Préparez-vous, dans quelques jours on va beaucoup jaser dinosaures (à suivre). En attendant, un dessin de Gary Larson (mon idole) :

5. Première futilité barbante (pour vous; car pour moi c’est vraiment chouette) : Planifier les prochaines étapes (randos, dodos, trucs à voir, itinéraires).

4. Les trois quatre prochains jours s’annoncent pour être de la pluie, de la pluie et, comment y disent déjà ?, ah oui … de la pluie. Donc peu de chance que je publie des trucs intéressants (en présumant que ce l’est jusqu’à maintenant). … Mais … publier des niaiseries futiles et barbantes, ça c’est bien possible 😈

3. Chevreuils numéros 5 et 6 de ceux vus ce matin. Depuis le départ, j’en suis donc à treize. Pfff ! Ça vient lancinant et routinier. J’en parlerai pu. Trop ordinaire. Ce qui serait chouette, ce serait un cougar. Histoire de prouver que les affiches de mise-en-garde ne sont pas de la frime.

2. Bin voyons donc ! Je suis au Cypress Hills Provincial Park qui, selon toutes les documentations touristiques, est le plus haut point au Canada entre les Rocheuses et le Labrador ! C’est n’importe quoi ! Sont jamais allés dans les Laurentides ? Ils n’ont jamais entendu parler des Appalaches ? La plus haute rando du parc atteint 210 mètres. Moins que le mont St-Bruno (218 mètres) !!! C’est moi qui ne saisi pas le sens de « Being the highest point in Canada between the Rockies and Labrador » ?

1. Cypress Hills Alberta Provincial Park. Au petit matin. En marchant sur la rive du lac Elkwater, j’ai réveillé la vingtaine d’oies (et leurs nombreux oisillons) qui y relaxaient. Ça crie mes amis. Vos boites bazwell ! J’étais zen moi là !
